Des valeurs ancrées depuis 70 ans
Dès l’après-guerre et la création du Syndicat des Eaux de la Charente-Maritime en 1952, le Conseil Général décide de favoriser l’alimentation en eau potable des populations du département. Il bâtit un modèle économique basé sur la péréquation, dans un objectif d’unicité tarifaire et de mutualisation des ressources en eau inéquitablement réparties sur le territoire. Partage des moyens financiers, gestion équilibrée de la ressource en eau et mobilisation de l’expertise au bénéfice de tous les territoires… Aujourd’hui, ces principes se révèlent plus que jamais pertinents dans un contexte de développement de l’attractivité littorale et de changement climatique.
Eau 17 sécurise le service public de l’eau en Charente-Maritime par une politique volontariste de renouvellement de ses réseaux et une démarche prospective sur les besoins et les ressources. C’est un investissement permanent dans la connaissance et dans la technique : anticiper plutôt que subir, identifier les problèmes avant qu’ils n’arrivent... L’anticipation est une démarche qui ne peut pas être le fruit d’une logique de rentabilité à court terme.
Investir en commun, c’est mutualiser les recettes comme les dépenses. Eau 17 agit comme une « caisse commune » qui permet d’être réactif et d’assurer une même qualité de service et une même performance.
Ce mécanisme assure implique une réciprocité entre les territoires. La ressource se situe le plus souvent sur les zones moins denses où le coût du service est plus élevé. Elle bénéficie aux secteurs plus peuplés où les dépenses liées au service est plus faible.
Sur l’ensemble du territoire, chaque usager a accès à l’eau et à l’assainissement à un coût maîtrisé et bénéficie d’économies d’échelle.
Eau 17 cherche en permanence à réduire la vulnérabilité des territoires face aux aléas techniques, naturels, sanitaires, ou climatiques. Cette démarche d’amélioration continue passe par :